Le Tour d’Isère, décliné en dix dates, a mis en avant la parole citoyenne et les initiatives locales pour construire collectivement les propositions porteuses des changements nécessaires à notre pays. En présence du comité sénatorial qui m’entoure, nous avons présenté à travers plusieurs thématiques (la mobilité, l’agriculture locale et l’alimentation, la démocratie participative, les nouvelles offres de services) comment l’échelon local (communes, intercommunalités) pouvait apporter des solutions et répondre au désengagement de l’État dans de nombreux territoires.
Ce sentiment d’abandon et d’injustice que nous avons largement perçu lors des différentes rencontres se traduit par la perte de services publics, la destruction de nos biens communs est à combattre à tous les niveaux.