Aux côtés de nombreuses autres personnalités politiques, du monde associatif et syndical, d’universitaires et d’avocats, j’ai demandé le retrait de la sanction infligée au brigadier-chef Amar Benmohamed ainsi que le harcèlement dont il fait l’objet par sa hiérarchie depuis plusieurs mois. En 2020, ce policier avait révélé au média StreetPress des centaines de cas de maltraitances à caractère raciste dans les cellules de dépôt. Les lanceurs d’alerte doivent être protégés et non traqués !